
Les États-Unis ont décidé de cesser la production de leur emblématique pièce d'un penny. Cette décision soulève des réactions variées, notamment en France. Les Français, bien que attachés à cette "petite ferraille rouge", semblent de moins en moins enclins à l'utiliser au quotidien.
Osman, un habitant, exprime son avis de manière franche. Il déclare : « Je n’en ai jamais sur moi, elles traînent au fond de mes poches et je n’aime pas ça ! ». Pour lui, les pièces de 1, 2, 5, 10 et 20 centimes sont inutiles. Il préfère garder uniquement les pièces de 50 centimes, ainsi que les 1 et 2 euros, qui lui semblent plus pratiques.
Osman abandonne volontiers ses petites pièces aux caissiers. Il explique : « Je leur dis que je n’en veux pas, ils les prennent sinon je les glisse dans les boîtes devant les caisses pour les pourboires ou une asso ». Cette attitude reflète un sentiment partagé par de nombreux Français, qui voient ces pièces comme un fardeau.
La perception des petites pièces en France évolue. Beaucoup de citoyens, comme Osman, préfèrent simplifier leurs transactions en utilisant des billets ou des pièces de plus grande valeur. Cette tendance pourrait signaler un changement dans la manière dont les gens envisagent la monnaie au quotidien.
Les petites pièces, bien que symboliques, semblent perdre leur attrait. Cela soulève des questions sur l'avenir de la monnaie en France et sur la nécessité de conserver ces petites valeurs. Les gens semblent de plus en plus enclins à abandonner ces pièces au profit de solutions plus pratiques.
La décision des États-Unis d'arrêter la production du penny résonne en France, où l'attachement à cette pièce diminue. Les témoignages comme celui d'Osman montrent que les petites pièces sont souvent perçues comme superflues. Ce phénomène pourrait marquer un tournant dans notre rapport à la monnaie et à son utilisation quotidienne.