« Je n’ai pas la moindre information sur les plaintes » : Gérard Miller, accusé de viols, déplore de ne pas pouvoir se « défendre »
Accusations contre Gérard Miller
Plusieurs femmes affirment que les faits ont eu lieu lors de séances d’hypnose, tant dans son cabinet que chez lui. Le psychanalyste Gérard Miller, visé par une enquête ouverte en février 2024, se dit démuni face à ces accusations de violences sexuelles.
Réaction de Gérard Miller
« Je n’ai ni été entendu, ni même convoqué (…) et je n’ai pas la moindre information sur les plaintes qui me viseraient », a-t-il déclaré. À quelques jours de la publication d’un second livre le décrivant comme coupable, il déplore son incapacité à se défendre.
Dans un communiqué, il a écrit : « Le 1er février 2024 est paru le premier article d’une série m’accusant d’agressions sexuelles et de viols ». Il souligne que ce second livre, intitulé « Anatomie d’une prédation », promet des révélations sur 30 ans d’emprise et de silence.
Enquête judiciaire
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour des faits « susceptibles d’être qualifiés de viols et d’agressions sexuelles, parfois sur victimes mineures ». Gérard Miller, âgé de 76 ans, affirme être certain de n’avoir commis aucune infraction.
Il regrette de ne pas avoir accès au dossier et d’ignorer le nombre de plaintes déposées contre lui. « Le respect dû à ma présomption d’innocence est allègrement bafoué », a-t-il déploré.
Impact médiatique
Dans un contexte médiatique tendu, il a été interrogé par une journaliste sur des photos le montrant en promenade avec une poussette. Il s’interroge : « Comment peut-on imaginer que ma famille et moi coulons des jours tranquilles ? »
Il dénonce ces photos « volées par les paparazzi » et insiste sur sa décision de réserver sa parole à l’institution judiciaire.
Conclusion
Les accusations portées contre Gérard Miller soulèvent de nombreuses questions sur la prescription et le traitement médiatique des affaires de violences sexuelles. Alors que l’enquête se poursuit, il reste à voir comment cette situation évoluera dans les mois à venir.
