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Je ne démissionne pas, déclare le chef de la police de Met après l'enquête de la BBC

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Introduction

Le chef de la police métropolitaine, Sir Mark Rowley, a affirmé qu'il ne démissionnerait pas de son poste après une enquête de Panorama révélant des preuves de misogynie et de racisme au sein de la force. Lors d'une interview avec BBC Radio London, il a dénoncé ceux qui propagent des rumeurs sur sa démission.

Réactions à l'enquête

Sir Mark a déclaré que les misogynes et les racistes au sein de la police souhaitaient le voir partir, car il s'attaque à ces comportements. Bien qu'il ait reconnu des problèmes systémiques, il a évité de qualifier ces problèmes d'institutionnels. Il a souligné les progrès réalisés depuis son arrivée, tout en admettant qu'il y avait encore un « cancer » à éradiquer.

Le chef de la police a décrit les images de Panorama, obtenues par des filtrages secrets, comme « répugnantes ». Des policiers en service y expriment des opinions choquantes, appelant à la violence contre les immigrés et minimisant les allégations de viol.

Engagement envers le changement

Sir Mark a assuré aux Londoniens qu'il avait fait un « travail extraordinaire » pour éliminer les officiers problématiques depuis le rapport Casey, suite au meurtre de Sarah Everard. Près de 1 500 membres de la police ont été écartés, et il a promis de ne pas s'arrêter tant que la situation n'est pas résolue.

Interrogé sur sa responsabilité personnelle, il a mentionné avoir déjà présenté des excuses et a insisté sur le fait que tout ce que fait la Met est de sa responsabilité personnelle. Le Premier ministre, Sir Keir Starmer, a qualifié les révélations de « choquantes », appelant à une réponse robuste de la part de Rowley.

Opinions divergentes sur les solutions

Parm Sandhu, ancienne surintendante, a remis en question la capacité de la Met à trouver des solutions si elle ne reconnaissait pas ses problèmes institutionnels. Elle a exprimé son scepticisme quant à la volonté de changement, soulignant que ces comportements avaient été tolérés par le passé.

Le maire de Londres, Sadiq Khan, a également critiqué la police, la qualifiant d'« institutionnellement raciste » et « institutionnellement sexiste ». Malgré cela, il a exprimé sa confiance en Rowley, le considérant comme la personne adéquate pour opérer les changements nécessaires.

Perception publique et confiance

Zoe Billingham, ancienne inspectrice de la police, a noté que Sir Mark devait maintenant démontrer un changement rapide pour restaurer la confiance du public. Elle a souligné que les Londoniens avaient besoin de voir des progrès tangibles.

Sir Mark a défendu ses officiers, affirmant que la majorité d'entre eux étaient des personnes intègres et dévouées. Il a insisté sur le fait que la Met continuerait à traquer et à éliminer les éléments problématiques, soulignant le dévouement de la majorité des agents.

Conclusion

Les révélations de Panorama ont mis en lumière des problèmes graves au sein de la Met. Sir Mark Rowley s'engage à lutter contre ces comportements, mais la route vers le changement semble semée d'embûches. La confiance du public dépendra de sa capacité à prouver que des réformes significatives sont en cours.

Publié le : 2 octobre 2025
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