
David Carrick, ancien policier de la Met, a été condamné à une autre peine de réclusion à perpétuité. Ce verdict a été prononcé après sa condamnation pour des crimes sexuels commis dans les années 1980 et 2010. À 50 ans, il a été reconnu coupable d'avoir abusé sexuellement d'une fille de 12 ans lorsqu'il avait 14 ans et d'avoir violé une ancienne partenaire deux décennies plus tard.
Lors du procès, Carrick avait déjà été condamné à 36 peines de réclusion à perpétuité, avec un minimum de 32 ans à purger. Il avait admis avoir commis 71 actes de violence sexuelle sur une période de 17 ans. La victime, qui a témoigné, a partagé que le traumatisme l'avait suivie dans sa vie d'adulte.
En plus des abus d'enfance, Carrick a été reconnu coupable de cinq chefs d'accusation d'agression indécente entre avril 1989 et août 1990. Il a également été reconnu coupable de deux viols sur une autre femme, l'un entre décembre 2014 et avril 2016, puis en 2019, ainsi que d'autres agressions sexuelles.
Le procureur Tom Little KC a souligné que Carrick devait être traité comme un juvénile pour les crimes commis contre la fille. Il a ajouté que les circonstances atténuantes étaient "limitées". La première date de libération conditionnelle a été fixée à 2054, alors qu'il aura 78 ans.
En rendant sa décision, le juge Justice McGowan a déclaré : "La peine que j'impose aujourd'hui aura peu ou pas d'effet pratique." Ce commentaire souligne la gravité des actes de Carrick et le long chemin de justice qui reste à parcourir.
Les crimes de Carrick ont eu des répercussions profondes sur ses victimes. L'une d'elles a décrit comment son expérience l'avait marquée à vie. Cette déclaration met en lumière l'impact durable des violences sexuelles sur les victimes.
La société attend des forces de l'ordre des mesures strictes pour traiter les cas de violence sexuelle. Les condamnations comme celle de Carrick sont essentielles pour envoyer un message clair sur l'intolérance envers de tels actes.
La condamnation de David Carrick à une nouvelle peine de réclusion à perpétuité souligne la gravité de ses crimes. La justice a pris des mesures pour assurer que des actes de violence sexuelle ne soient pas pris à la légère. Les victimes méritent reconnaissance et soutien, et ce verdict est un pas vers la justice.