Le nouveau président de la Corée du Sud, Lee Jae-myung, a promis d'« unir le pays » lors de son discours d'inauguration. Ce discours a eu lieu peu après sa victoire à la présidence, marquant un moment crucial pour la nation. Lee prend ses fonctions à un moment où le pays est confronté à de profondes divisions.
Dans son discours, Lee a déclaré qu'il commencerait par revitaliser l'économie et guérir le peuple. Il a souligné l'importance de rassembler tous les citoyens, indépendamment de leur choix électoral. « Je serai le président de tous les gens », a-t-il affirmé devant l'Assemblée nationale.
Lee, candidat du Parti démocrate libéral, a été élu avec près de 50 % des voix. Cette élection intervient dans un contexte de tensions politiques exacerbées par la déclaration surprise de l'état de siège par le président Yoon Suk Yeol en décembre dernier.
Lee a attribué les troubles politiques du pays à des factions politiques qui n'ont pas le désir de travailler pour le bien-être des citoyens. Il a promis de s'efforcer d'unir le peuple et de surmonter les divisions qui minent la société sud-coréenne.
Le nouveau président a également insisté sur la nécessité de créer un environnement où chaque citoyen se sentira inclus. « Je travaillerai pour unir les gens », a-t-il répété, affirmant son engagement envers tous les Sud-Coréens.
Lee Jae-myung souhaite construire un avenir où la collaboration entre les différentes factions politiques sera essentielle. Il a exprimé sa détermination à dépasser les clivages et à favoriser un dialogue constructif.
Son approche vise à instaurer un climat de confiance et de coopération entre les citoyens. En se concentrant sur la guérison et l'unité, il espère transformer les défis en opportunités pour le pays.
En somme, Lee Jae-myung se présente comme un leader déterminé à réunir la Corée du Sud. Son discours d'inauguration met en lumière les défis qu'il devra relever, tout en posant les bases d'une nouvelle ère de collaboration. L'avenir du pays dépendra de sa capacité à unir les citoyens et à revitaliser l'économie.