
Les journaux de ce samedi mettent en lumière les conséquences d'une erreur judiciaire après la libération d'un ancien demandeur d'asile ayant agressé sexuellement une adolescente de 14 ans. Cet incident a suscité une forte réaction, notamment de la part des autorités.
Le Sun qualifie cette situation de "one out... by mistake", en référence au programme d'asile du gouvernement. Il rapporte que Hadush Gerberslasie Kebatu, un citoyen éthiopien, devait être expulsé avant d'être libéré à cause d'une erreur stupéfiante des employés de la prison.
Le Daily Telegraph indique que la police s'active pour retrouver Kebatu, qui a été libéré de HMP Chelmsford après avoir été mal catégorisé comme un prisonnier devant être libéré. Le ministre de la Justice, David Lammy, a exprimé sa colère et a ordonné une enquête urgente sur cette erreur.
Le Daily Mail décrit cette situation comme une "erreur incroyable". Selon le journal, Kebatu a été vu pour la dernière fois demandant des directions avant d'embarquer dans un train à destination de Londres. Parallèlement, des nouvelles concernant le prince Andrew émergent, avec des rumeurs selon lesquelles il pourrait être exclu du Royal Lodge par le roi Charles III.
Le Mirror aborde également les "discussions avancées" entre le prince Andrew et le roi concernant son départ du Royal Lodge après ses liens avec Jeffrey Epstein. Le titre "Dislodged" accompagne une vue aérienne de la vaste résidence royale.
Le Guardian évoque un "avertissement sévère pour Starmer" après une défaite électorale écrasante dans son fief traditionnel du Pays de Galles. Ce résultat met en lumière l'effondrement frappant du vote du parti, incitant certains députés à avertir que cela pourrait signifier la fin de la premiership de Sir Keir Starmer.
Le Independent reprend cette thématique, soulignant la "défaite historique" du gouvernement à Caerphilly. Le Premier ministre a exprimé sa grande déception face à ce résultat. En parallèle, le roi a réservé un "accueil royal" au président ukrainien Volodymyr Zelensky lors d'un sommet à Londres.
Le Times rapporte que la chancelière Rachel Reeves prévoit d'augmenter les salaires de plus d'un million de travailleurs mal payés. Cependant, des entreprises l'ont avertie que cette décision pourrait mettre en péril des emplois.
Le journal i souligne que des économistes mettent en garde la chancelière sur les conséquences d'une augmentation de l'impôt sur le revenu, qui toucherait les "travailleurs ordinaires". Reeves envisage même de violer la promesse électorale du Labour pour avoir plus de flexibilité sur les dépenses publiques.
En somme, les événements récents mettent en lumière des enjeux cruciaux au sein du gouvernement et des institutions judiciaires. Les erreurs de libération et les défaites électorales soulignent la nécessité d'une réflexion sérieuse sur les politiques en place. La situation actuelle pourrait avoir des répercussions importantes sur l'avenir politique et social du pays.