
Frédéric Péchier, ancien anesthésiste, est actuellement jugé pour trente empoisonnements. Bien qu'il nie ces accusations, il admet avoir rencontré des difficultés personnelles durant des moments clés du dossier. Lors de son procès, il a exprimé son ressenti face aux témoignages des victimes.
Lors de son 12e interrogatoire, le 14 novembre 2025, Péchier a déclaré : « J’ai vu certaines victimes me démolir et me cracher à la gueule ». Cette déclaration fait référence à la déposition poignante du fils de Sylviane Baugey, l'une des victimes. Il a accusé Péchier avec véhémence, affirmant : « Ce n’est pas un médecin, c’est un toxico dépressif suicidaire », mettant en lumière la gravité des accusations.
La colère du fils endeuillé, Florimond Baugey, souligne l'impact émotionnel de cette affaire. Il a également suggéré que l'ex-épouse de Péchier aurait pu agir en tant que lanceuse d’alerte au milieu de ce que lui appelle un naufrage. Ces témoignages renforcent l'intensité du procès et la perception du public envers l'accusé.
Bien que l'ex-épouse de Péchier ne soit pas attendue à la barre avant décembre, l'examen de sa personnalité a déjà commencé. Les déclarations des victimes et des proches jouent un rôle crucial dans la construction du dossier. L'opinion publique semble se forger à travers ces récits poignants.
Ce procès soulève des questions sur la santé mentale de l'accusé. Les accusations de ses détracteurs ajoutent une dimension complexe à l'affaire. Frédéric Péchier doit maintenant faire face à ces allégations sérieuses tout en gérant les conséquences de son passé.
Le procès de Frédéric Péchier met en lumière les tensions entre l'accusé et les victimes. Les témoignages puissants révèlent des émotions intenses et des accusations graves. Alors que l'examen de personnalité se poursuit, l'issue de ce procès reste incertaine. La société attend avec impatience de connaître le verdict final.