La réforme supprimerait les politiques 'net Stupid Zero' - Tice

Introduction

Richard Tice, le vice-leader de Reform UK, a récemment déclaré que l'Écosse serait la plus grande bénéficiaire de l'abandon des politiques de "net stupid zero". Lors de sa visite en Écosse, il a affirmé que ces politiques écologiques nuisaient à l'emploi dans le secteur pétrolier et gazier.

Les politiques de "net stupid zero"

Tice a souligné que les objectifs de neutralité carbone entraînaient la destruction de milliers d'emplois bien rémunérés en Écosse. Il a déclaré que ces politiques étaient "destructrices" pour l'économie locale et qu'elles devaient être abandonnées pour favoriser la croissance.

Il a ajouté que les politiques de Reform UK, axées sur le sens commun, attiraient de plus en plus de soutien. Selon lui, ces mesures pourraient améliorer le niveau de vie des Écossais en revitalisant des industries clés.

Défections de conseillers

Lors de cette visite, Tice a annoncé que deux conseillers avaient quitté le Parti conservateur écossais pour rejoindre Reform UK. John Gray et Ross Lambie, tous deux conseillers, ont été félicités pour leur décision de quitter un parti qu'il a qualifié d'irrélevant.

Ce mouvement fait partie d'une tendance plus large, avec cinq conseillers conservateurs ayant déjà fait le saut vers Reform. Tice a exprimé sa fierté pour ces nouveaux membres, affirmant que leur parti gagnait en popularité.

Perspectives et ambitions électorales

Tice a prédit que Reform UK pourrait atteindre environ 20% de soutien dans les sondages d'ici l'été. Il a également mentionné que le parti avait presque autant de membres en Écosse que le Parti travailliste, avec environ 9 300 membres actuellement.

Il a affirmé que cette montée en puissance inquiétait les dirigeants des partis traditionnels, notamment John Swinney et Anas Sarwar. Dans le cadre des élections au parlement écossais de l'année prochaine, Reform UK prévoit de présenter des candidats dans chaque circonscription.

Conclusion

En somme, Richard Tice et Reform UK cherchent à transformer l'économie écossaise en abandonnant les politiques de "net stupid zero". Avec des défections significatives et un soutien croissant, le parti aspire à jouer un rôle clé dans le paysage politique écossais.