
Les États-Unis ont récemment intensifié leur pression sur le président vénézuélien Nicolás Maduro en imposant des sanctions à l'encontre de sa famille et de ses associés. Cette décision, prise vendredi, vise à affaiblir le soutien dont bénéficie Maduro au sein de son gouvernement.
Le ministère des Finances américain a déclaré avoir sanctionné sept personnes liées à Maduro et sa femme. Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a affirmé que ces individus aidaient à maintenir un narcostat illégal. Il a déclaré : « Nous ne laisserons pas le Venezuela inonder notre nation de drogues mortelles. »
Bessent a également averti que Maduro et ses complices criminels menaçaient la paix et la stabilité de l'hémisphère. L'administration Trump s'engage à cibler les réseaux qui soutiennent cette dictature illégitime.
Le ministère de l'Information du Venezuela n'a pas immédiatement répondu à cette annonce. Toutefois, Maduro et son gouvernement ont toujours nié toute implication dans des activités criminelles. Ils affirment que les États-Unis cherchent à le renverser pour s'emparer des vastes réserves pétrolières du pays.
Ces derniers mois, l'administration Trump a renforcé sa pression sur Maduro, notamment par un important renforcement militaire dans les Caraïbes. Cette escalade vise à montrer la détermination des États-Unis à contrer l'influence de Maduro dans la région.
Les sanctions imposées par les États-Unis représentent une escalade significative dans la tension entre Washington et Caracas. Alors que Maduro continue de nier les accusations, la communauté internationale observe de près l'évolution de la situation au Venezuela.