
En 2025, la transformation de la science a pris un tournant notable sous la direction du président Trump. Cette année a été marquée par des réorganisations majeures et des réductions de financement qui ont profondément modifié la manière dont la science est pratiquée aux États-Unis. Le directeur du Bureau de la gestion et du budget a annoncé la dislocation d'un centre de recherche climatique majeur, suscitant des préoccupations parmi les scientifiques.
Les réformes de 2025 ont suscité des interrogations sur l'avenir de la recherche scientifique aux États-Unis. Le journaliste scientifique Roland Pease, vétéran dans le domaine, a partagé son analyse des premières répercussions de ces changements. Les scientifiques se demandent comment ces restructurations affecteront leur travail quotidien et la qualité des recherches menées.
Victoria Gill a également eu l'occasion de visiter une installation de déchets nucléaires en Finlande, la première du genre au monde. Ce pays a attiré l'attention internationale, y compris celle du Royaume-Uni, qui s'intéresse à la manière dont cette infrastructure a été mise en place. Cette visite a permis d’explorer les défis et les solutions liés à la gestion des déchets nucléaires.
Cette semaine marque également le 40e anniversaire de l'assassinat de Dian Fossey, célèbre pour ses études sur les gorilles de montagne en Rwanda. Gilly Forrester, professeur de cognition comparative à l'Université de Sussex, a discuté de l'impact durable des données collectées par Fossey. Ces informations continuent de façonner la recherche scientifique contemporaine sur la conservation des espèces.
En somme, l'année 2025 a été marquée par des changements significatifs dans le paysage scientifique américain. Les réorganisations et les réductions budgétaires soulèvent des questions sur l'avenir de la recherche. En parallèle, des initiatives comme celle de la Finlande et l'héritage de Dian Fossey rappellent l'importance de la science dans notre compréhension du monde naturel.