Aimee Lou Wood révèle que SNL a présenté des excuses pour sa satire "méchante et peu drôle" sur White Lotus

Introduction

La comédienne Aimee Lou Wood, star de White Lotus, a récemment partagé que Saturday Night Live s'est excusé auprès d'elle pour un sketch jugé "méchant et pas drôle". Cette situation a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux.

Le sketch controversé

Le sketch en question, intitulé "White Potus", parodiait le président américain Donald Trump et sa famille. Dans ce numéro, Sarah Sherman interprétait le personnage de Chelsea, une création de Wood, en portant des fausses dents très visibles et abîmées.

Ce moment a été déclenché lorsque le personnage de Kennedy, joué par Jon Hamm, évoque l'élimination du fluor dans l'eau potable. La réaction de Chelsea, pleine de confusion, a mis en avant une caricature de l'apparence de Wood, ce qui a choqué l'actrice.

Réactions d'Aimee Lou Wood

Dans une interview avec British GQ, Wood a exprimé ses craintes initiales d'être jugée "trop moche" pour le show de HBO. Elle a clarifié que ces inquiétudes étaient personnelles et qu'aucun membre de HBO ne lui avait fait de remarques négatives.

Elle a ensuite qualifié la représentation de SNL de blessante, soulignant que le sketch se moquait des figures publiques pour leurs actions, mais l’a ciblée pour son apparence. Wood a déclaré : "J'ai de grandes dents écartées, pas de mauvaises dents."

Impact et soutien

Après le sketch, Wood a reçu des milliers de messages de soutien. Elle a précisé qu'elle ne tenait pas Sherman pour responsable et a révélé que SNL avait finalement présenté des excuses.

Wood, qui a joué un rôle central dans la saison 3 de White Lotus, a été saluée pour son authenticité. Elle a également partagé que l'acceptation de son sourire et de ses dents écartées était une expérience libératrice.

Réflexion sur les standards de beauté

Dans le même entretien, Wood a évoqué la pression liée à son apparence, en particulier concernant ses dents. Elle a noté que les compliments peuvent devenir épuisants, détournant l'attention de son travail.

Elle a posé la question : "Si c'était un homme, en parlerait-on autant ?" Cette réflexion met en lumière les préjugés de genre persistants dans l'industrie.

Conclusion

Aimee Lou Wood continue de naviguer dans les défis de l'industrie du divertissement tout en restant fidèle à elle-même. Son histoire souligne l'importance de l'acceptation de soi et la nécessité de remettre en question les normes de beauté imposées.