Le mois de juin est très attendu par de nombreux travailleurs et retraités. C'est un moment où, traditionnellement, une des pays extraordinaires de l'année est versée. Cet argent est précieux pour planifier les vacances ou d'autres projets estivaux. Cependant, tout le monde ne bénéficie pas de cette aide financière.
La majorité des pensions contributives du système sont versées en 14 mensualités. Cela signifie qu'en juin et en novembre, les bénéficiaires reçoivent un montant supplémentaire, en plus des 12 mensualités habituelles. Cette pratique est bien ancrée dans le système de retraite.
En revanche, ceux qui perçoivent le soutien pour les plus de 52 ans ne reçoivent pas cette prime. Bien qu'ils cotisent pour leur pension de retraite, il s'agit d'une prestation de chômage et non d'une pension contributive.
Les personnes touchant le soutien pour les plus de 52 ans ne bénéficient pas de paye supplémentaire, comme l'indique le SEPE. En effet, aucune prime n'est versée, ni dans les prestations contributives, ni dans le soutien au chômage. Cela signifie qu'ils reçoivent au maximum 12 paiements annuels.
Cette situation est différente des pensions contributives, qui incluent souvent des paiements supplémentaires. Ainsi, les bénéficiaires de ce soutien se retrouvent avec un montant moins élevé chaque année.
Il est important de noter que les soutiens de chômage sont des prestations non contributives. Cela signifie qu'il n'y a pas de cotisation générée, et par conséquent, leur montant ne dépend pas des cotisations. Cela entraîne l'absence de droits aux primes supplémentaires.
La même règle s'applique à l'Ingreso Mínimo Vital (IMV). Les bénéficiaires de cette aide ne reçoivent pas non plus de paye supplémentaire à la prestation reçue. Cette situation soulève des questions sur l'équité des aides financières.
En résumé, le mois de juin apporte des avantages financiers à certains, mais pas à tous. Les personnes bénéficiant de prestations non contributives, comme le soutien pour les plus de 52 ans, ne reçoivent pas de primes supplémentaires. Cela souligne l'importance de comprendre les différences entre les types de prestations et leurs implications financières.