Le 29 mars 2025, un tremblement de terre a de nouveau frappé le sud-est de la France. Ce séisme, d'une magnitude de 3,5 sur l'échelle de Richter, a été ressenti dans plusieurs départements, notamment le Var, les Alpes-Maritimes et les Hautes-Alpes. Le Bureau Central Sismologique Français (BCSF) a rapidement publié une carte indiquant l'épicentre de cette secousse.
À 14h08, l’épicentre a été localisé à Vars, dans les Hautes-Alpes. Les ondes de choc ont été perçues jusqu'au parc du Mercantour, témoignant de la puissance de ce phénomène sismique. La carte diffusée par le BCSF, relayée par la presse locale, a permis de visualiser la portée de ce mouvement.
Les habitants des Alpes-Maritimes ont été moins affectés que lors d'un précédent séisme survenu le 18 mars, où une magnitude de 4,1 avait été enregistrée. L’épicentre de ce dernier se situait à proximité de Nice, provoquant une réplique de magnitude 3,6 deux jours plus tard.
Iman, une jeune alternante en télétravail, a partagé son expérience : « Ça a duré que quelques secondes mais c’était assez fort, un peu comme quand il y a du tonnerre violent. » Cette description illustre bien l'impact émotionnel que peut avoir un tremblement de terre, même de faible magnitude.
Comme à chaque séisme, le BCSF a lancé un appel à témoins. Cette initiative vise à recueillir des informations précieuses pour mieux comprendre les variations des secousses sismiques et évaluer les effets sur le terrain.
Le BCSF a souligné l'importance de ces témoignages pour améliorer la connaissance des séismes. Cela permet également de calibrer les séismes historiques et d'informer l'État des effets produits par de tels événements. Les témoignages sont essentiels pour la recherche et la prévention future.
Les habitants, bien que soulagés par la faible intensité de ce dernier tremblement, restent vigilants. La mémoire des événements passés, plus puissants, incite à la prudence et à la préparation.
En résumé, le séisme du 29 mars 2025 rappelle l'importance de la vigilance face aux phénomènes naturels. Les réactions des habitants et les efforts du BCSF pour recueillir des témoignages soulignent la nécessité d'une meilleure compréhension des séismes. La vie continue, mais la mémoire de ces secousses reste gravée dans les esprits.