Les statistiques mondiales de commerce publiées par l'ONU révèlent des résultats surprenants. Malgré les tarifs douaniers imposés par Trump, le commerce mondial a connu une croissance significative. Cela soulève des questions sur l'impact réel de la guerre commerciale des États-Unis sur les flux commerciaux internationaux.
Les données montrent que le commerce mondial a augmenté de 1,5% au premier trimestre et de 2% au second trimestre, même après le début de la guerre commerciale. Bien que ces chiffres puissent sembler gonflés par la hausse des prix, ils indiquent une transformation des flux commerciaux plutôt qu'une diminution de leur volume.
Le déficit commercial des États-Unis a également diminué de 17,4% en avril et de 28,9% en mai. Cela est en partie dû aux tarifs, mais aussi à une réduction de l'activité économique causée par les politiques protectionnistes de Trump. Cependant, un superavit commercial pour les États-Unis reste inatteignable.
La Union Européenne semble de plus en plus prête à commercer avec des régimes autoritaires. Cela contraste avec les principes de justice sociale et de respect des droits humains qu'elle prétend défendre. L'analyse du Banque Centrale Européenne révèle une hypocrisie dans ces engagements.
Au cours des 25 dernières années, l'UE a progressivement favorisé le commerce avec des pays de moins en moins démocratiques. Cette tendance est en partie due à l'intégration de la Chine dans le commerce mondial, mais aussi à des choix politiques qui remettent en question les leçons de moralité que l'UE tente de donner aux États-Unis.
La situation en Russie devient préoccupante avec des arrestations d'oligarques par Vladimir Poutine. Les répercussions de ces actions sont visibles, avec des suicides et des décès liés à la pression politique. Les craintes d'une crise bancaire se renforcent alors que les entreprises peinent à rembourser leurs crédits.
La croissance économique est en déclin, et l'inflation augmente, exacerbant la situation. Si des sanctions supplémentaires sont imposées par l'UE, la crise pourrait s'intensifier, bien que la Russie puisse compter sur le soutien financier de la Chine.
Elon Musk semble perdre de l'intérêt pour la production de voitures électriques chez Tesla, souhaitant se concentrer sur les robots et les véhicules autonomes. Cependant, il fait face à une concurrence accrue de la part d'entreprises comme Baidu Apollo et Waymo.
Ce qui le passionne vraiment, c'est SpaceX, dont la valorisation a doublé en un an, atteignant 400 milliards de dollars. Pourtant, un effondrement de Tesla pourrait entraîner des conséquences pour toutes ses entreprises, y compris SpaceX.
Le cuivre, bien que moins glamour que le pétrole, est crucial pour l'économie moderne. La menace de Trump d'imposer des tarifs douaniers sur le cuivre a suscité des inquiétudes, particulièrement pour des pays comme le Chili, dépendant de ses exportations vers les États-Unis.
Les chiffres montrent que le Chili tire entre 8% et 11% de ses revenus des exportations de cuivre. De plus, la production nationale ne couvre que 50% de la consommation, rendant le pays vulnérable à des fluctuations de prix.
Le marché du capital privé a évolué, avec des entreprises comme SpaceX et OpenAI qui ne sont pas cotées en bourse mais valent des milliards. Les investisseurs, y compris des universités et des fonds souverains, détiennent une immense liquidité, évitant ainsi de se conformer aux régulations boursières.
Cette situation permet à ces entreprises de prospérer sans pression extérieure, en s'appuyant sur un réseau d'investisseurs fortunés. Cela soulève des questions sur l'avenir et la régulation de ces géants du capital.
Les développements récents dans le commerce mondial, les relations de l'UE, la crise en Russie, et les ambitions d'Elon Musk soulignent des enjeux économiques et politiques complexes. La dynamique actuelle des marchés, notamment en ce qui concerne le cuivre et le capital privé, pourrait avoir des répercussions significatives sur l'économie mondiale.