Lors de son discours à l'assemblée générale des Nations unies, le président américain a critiqué de manière acerbe divers sujets. Il a abordé des thèmes tels que l'ONU, l'Europe, et la lutte contre le dérèglement climatique, tout en évoquant la question des migrants. Cette intervention a suscité des réactions variées parmi les dirigeants présents.
Pour son grand retour au palais de verre new-yorkais, l'auditoire s'est partagé entre fascination et crispation. Des applaudissements ont retenti dans les rangs d'Israël et de l'Argentine, dirigée par l'ultralibéral Javier Milei. En revanche, les délégations sud-américaines ont été stigmatisées pour leurs politiques migratoires, suscitant l'effroi et la réprobation des pays occidentaux.
Emmanuel Macron, pris par une rencontre avec des investisseurs à New York, était absent. Sa présence aurait pu apporter une autre perspective à ce discours. La veille, la délégation américaine avait également manqué le discours sur la Palestine, ce qui a renforcé l'attention sur l'absence de certains leaders.
Comparé à son intervention de 2018, Donald Trump a moins fait rire cette fois-ci. Il est désormais à la tête de la plus grande puissance mondiale et revendique avoir ramené les États-Unis « à son âge d’or » après la présidence de Joe Biden, qu'il qualifie de « Joe l’endormi ». Ce changement de ton montre une volonté de montrer son pouvoir et son influence.
Les Européens ont compris, à leurs dépens, que ses discours sont à prendre au sérieux. Ils se sont souvent retrouvés méprisés par ses propos et écrasés par ses droits de douane. Cette dynamique crée une tension palpable entre les États-Unis et l'Europe.
Le discours de Donald Trump à l'ONU a été marqué par des critiques acerbes et des réactions variées. Sa position en tant que leader mondial et ses déclarations audacieuses soulèvent des questions sur l'avenir des relations internationales. Alors que les tensions persistent, il est clair que la scène politique mondiale continue d'évoluer sous l'influence des grandes puissances.