Donald Trump a fait son retour à la Maison Blanche et, en seulement trois semaines, il a déjà provoqué des tensions dans la géopolitique mondiale. Cependant, il semble qu'il respecte une institution qui lui tient à cœur : la famille royale britannique. Ce samedi, il a clarifié une question qui préoccupait depuis sa victoire électorale en novembre.
Trump a affirmé qu'il ne prévoit pas d'expulser le prince Harry des États-Unis. Il a promis de le protéger, même si des allégations de mensonge sur sa consommation de drogues apparaissaient. En réponse à un journaliste, il a déclaré : "Je ne veux pas faire ça. Je le laisserai en paix."
Malgré son soutien au prince Harry, Trump a exprimé son mépris pour sa femme, Meghan Markle. Il a déclaré : "[Harry] a déjà assez de problèmes avec sa femme. Elle est terrible." Cette remarque montre qu'il n'a pas l'intention de pardonner à Meghan, qu'il ne considère pas comme un membre à part entière de la famille royale.
La question du visa du prince Harry est délicate. En 2023, la Heritage Foundation a remis en question la légalité de son statut de résident aux États-Unis, en raison de ses aveux sur la consommation de drogues dans son livre. L'administration Biden a bloqué la publication de son dossier, mais la Heritage Foundation espérait un changement avec le retour de Trump.
En mars, Trump a averti le prince Harry qu'il pourrait lui retirer son visa s'il était prouvé qu'il avait menti. Lors d'une interview avec Nigel Farage, il a insisté sur le fait que le duc de Sussex ne devait pas bénéficier d'un traitement de faveur. "Nous devrons voir s'il y a des éléments concernant les drogues", a-t-il déclaré.
À ce moment-là, Trump a également critiqué Harry pour ne pas avoir "respecté" sa grand-mère, la défunte reine Isabelle II. Trump a toujours affiché une grande admiration pour la reine, un sentiment hérité de sa mère.
En tant que président, Trump a le pouvoir de protéger la présence de Harry aux États-Unis, indépendamment de la véracité de ses déclarations. Il semble déterminé à le faire, tout en continuant à critiquer Meghan Markle. Trump a exprimé son ressentiment envers elle, la qualifiant d'"antipathique" et d'"désagréable".
Il a même suggéré, lorsqu'il était homme d'affaires, qu'il aurait pu avoir une liaison avec Lady Di. De plus, il a critiqué Kate Middleton pour avoir été photographiée topless, en insinuant qu'elle n'aurait pas dû prendre le soleil nue.
Malgré ces critiques, Trump a flirté avec la monarchie britannique durant son mandat. À la suite du décès de la reine Isabelle II, il a exprimé sa tristesse, soulignant son humour et sa sagesse. Eric Trump, son fils, a récemment déclaré au Daily Mail que la famille royale représente quelque chose de précieux pour eux.
Il a ajouté : "Je pense que la famille royale est l'une des choses les plus grandes et belles du Royaume-Uni." Ces déclarations montrent que, malgré les tensions, la famille Trump a un profond respect pour la monarchie britannique.
En somme, le retour de Donald Trump à la Maison Blanche a déjà des implications pour le prince Harry et sa situation aux États-Unis. Bien qu'il soit prêt à soutenir Harry, son animosité envers Meghan Markle reste palpable. La dynamique entre Trump et la famille royale britannique continue de susciter l'intérêt et les débats.