La porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a récemment modéré les déclarations de Donald Trump concernant la prise de contrôle américaine de la bande de Gaza. Ces propos ont suscité de vives réactions et des clarifications ont été nécessaires pour apaiser les tensions.
Après les déclarations chocs de Donald Trump, qui a annoncé que les États-Unis allaient « prendre le contrôle » de Gaza, son administration a dû intervenir. Karoline Leavitt a précisé que les États-Unis ne financeraient pas la reconstruction de Gaza, mais travailleraient avec des partenaires régionaux.
Elle a également souligné que cette prise de contrôle ne signifierait pas la présence de troupes américaines sur le terrain. Le président ne s'est pas engagé à déployer des soldats, ce qui a été confirmé par Leavitt lors d'une conférence de presse.
Marco Rubio, secrétaire d'État américain, a clarifié que l'intention de Trump était que les Palestiniens quittent temporairement Gaza durant sa reconstruction. Il a décrit cette initiative comme « un geste très généreux » pour aider à restaurer les infrastructures détruites.
Les déclarations de Trump, faites lors d'une rencontre avec le Premier ministre israélien, ont été largement critiquées. Il a proposé que les Gazaouis se déplacent vers la Jordanie ou l'Égypte, ce qui a rencontré une forte opposition de ces pays.
Karoline Leavitt a insisté sur le fait que les États-Unis attendaient une coopération des pays voisins pour accueillir temporairement les réfugiés palestiniens. Cette situation soulève des questions sur les conditions de vie à Gaza, qui sont déjà désastreuses.
Elle a déclaré que la reconstruction devrait permettre aux habitants de retourner dans un environnement où ils pourraient vivre en harmonie. Cependant, la réalité actuelle à Gaza complique cette vision optimiste.
Les récentes déclarations de Donald Trump sur Gaza ont provoqué une onde de choc, nécessitant des clarifications de son administration. Bien que l'idée de reconstruction soit louable, les défis humanitaires et politiques demeurent. La situation à Gaza exige une attention urgente et des solutions durables pour le bien-être de ses habitants.