Depuis 45 ans, les présidents des États-Unis ont envisagé d'attaquer l'Iran, perçu comme un grand déstabilisateur du Proche-Orient. Ce pays est souvent décrit comme le principal parrain du terrorisme et le soutien économique de groupes comme Hizbullah et Hamas. Malgré la menace, aucun président n'a osé franchir le pas, en raison des risques politiques et géopolitiques trop élevés.
C'est finalement Donald Trump qui a rompu les tabous, ordonnant la destruction des principales installations nucléaires de l'Iran. Ce samedi, peu avant qu'un escadron de bombardiers B-2 ne pénètre l'espace aérien iranien, Trump a donné le feu vert à une opération militaire sans précédent. Plus de 125 avions et un sous-marin ont été mobilisés pour cette mission.
Lorsque le Pentagone a confirmé que jusqu'à 75 bombes avaient atteint leurs cibles, Trump a célébré l'attaque sur les réseaux sociaux. "Nous avons complété avec succès notre attaque contre les installations nucléaires de l'Iran", a-t-il déclaré, tout en appelant à la paix.
Dans une conférence de presse, Trump a souligné que l'objectif était de détruire la capacité d'enrichissement nucléaire de l'Iran. Il a averti que si l'Iran ripostait, les conséquences seraient dévastatrices. Les premiers rapports indiquent des dégâts considérables, mais le chef d'état-major des États-Unis a été plus prudent dans ses déclarations.
Cette démonstration de force envoie un message clair aux alliés et aux rivals. Trump a insisté sur le fait qu'aucun autre pays ne pourrait réaliser une telle opération, soulignant la puissance militaire des États-Unis.
Les heures qui ont suivi l'attaque ont été marquées par une agitation mondiale. Trump a vu une opportunité que Netanyahu lui a présentée, convaincant le président de l'importance de frapper avant que l'Iran ne puisse se défendre. Les hauts responsables du Pentagone ont averti que toute riposte de l'Iran serait confrontée à une force supérieure.
À Washington, l'opinion est que l'Iran, avec un leadership contesté, n'est plus la puissance redoutée. Cela a conduit à cette attaque dévastatrice, provoquant des tensions au sein du mouvement MAGA, certains y voyant une trahison.
La situation a suscité des débats à l'ONU, où une résolution demandant un cessez-le-feu a été proposée par la Chine, la Russie et le Pakistan. Le ministre des Affaires étrangères iranien s'est rendu à Moscou pour des discussions urgentes. Pendant ce temps, les dirigeants de France, d'Allemagne et du Royaume-Uni ont appelé l'Iran à ne pas déstabiliser davantage la région.
Les pays arabes évaluent maintenant comment se positionner face à cette nouvelle réalité. Les États-Unis ont renforcé la sécurité de leurs installations, craignant des attaques potentielles en réponse à leur intervention militaire.
En somme, l'attaque contre l'Iran a ouvert un nouveau chapitre dans les relations internationales. Les conséquences de cette opération sont encore incertaines, mais elle marque un tournant dans la politique étrangère américaine. La communauté internationale observe avec inquiétude les développements futurs, tandis que les tensions au sein du mouvement MAGA soulignent les divisions internes sur la stratégie à adopter face à l'Iran.