Une Australienne de 48 ans a été arrêtée pour avoir tenté de vendre des orteils humains. Ce fait divers sordide a eu lieu à Melbourne. La femme, membre du groupe Facebook « Bone Buddies Australia », a plaidé coupable devant le tribunal. Son acte a choqué l'opinion publique.
Joanna Kathlyn Kinman travaillait comme garde forestière dans un refuge de l'État de Victoria. En février 2024, elle a accueilli deux chiens ayant dévoré des parties du corps d'un propriétaire décédé. Ces restes ont été vomis par les animaux au refuge, révélant une situation macabre.
La procureure, Melissa Sambrooks, a indiqué que Kinman avait fouillé des poubelles pour récupérer des restes humains. Elle a trouvé deux orteils, qu'elle a placés dans un bocal avec du formaldéhyde. Kinman a ensuite expliqué à sa fille comment elle envisageait de les vendre en ligne pour jusqu'à 400 dollars.
Alertée par une source anonyme, la police a interpellé Kinman à son domicile. Lors de son arrestation, elle a avoué ses intentions et a montré le bocal contenant les orteils. Elle a justifié son acte en disant : « Je connais quelqu'un qui collectionne des choses bizarres… ».
Kinman n'en était pas à son premier essai. Elle avait déjà vendu des spécimens d'animaux morts, comme un chaton et un chiot. La police a également découvert divers objets étranges chez elle, tels qu'une griffe d'alligator et un crâne d'oiseau.
Joanna Kathlyn Kinman risque jusqu'à deux ans de prison pour ses actes. Cette affaire soulève des questions éthiques et juridiques sur la vente de restes humains et d'animaux. Le public est choqué par cette utilisation macabre de la technologie moderne.
Les réactions sont vives, et beaucoup demandent des mesures plus strictes concernant les pratiques de vente en ligne. La société doit réfléchir à la manière dont elle encadre ces échanges pour éviter de tels incidents à l'avenir.
Cette affaire met en lumière des comportements extrêmes et dérangeants. Joanna Kathlyn Kinman a franchi une limite éthique en tentant de vendre des orteils humains. Les conséquences de ses actes sont désormais entre les mains de la justice. La société doit se questionner sur ses valeurs et ses normes.