La plus ancienne victime survivante du scandale Horizon exprime sa colère après le licenciement du ministre des Postes, Gareth Thomas, lors du récent remaniement gouvernemental. Betty Brown, 92 ans, déclare avoir établi une relation avec le ministre, et que tout cela est maintenant "perdu" avec son départ.
Elle se demande : "Pourquoi perdre du temps à former un autre ministre ?" Après près de dix ans de lutte pour obtenir une indemnisation, Betty attend toujours que sa demande soit réglée. En 1988, Betty et son mari Oswall ont commencé à gérer le bureau de poste à Annfield Plain dans le County Durham.
Le scandale Horizon a touché de nombreuses personnes, causant des préjudices financiers et émotionnels. Les victimes, comme Betty, se battent depuis des années pour obtenir justice. Malgré les promesses, leurs demandes d'indemnisation restent souvent sans réponse.
La situation de Betty est emblématique des luttes auxquelles de nombreuses victimes sont confrontées. Elle a consacré une grande partie de sa vie à défendre ses droits, mais se sent maintenant abandonée par le gouvernement.
Le licenciement de Gareth Thomas a suscité des réactions mitigées. Pour certaines victimes, cela représente un recul dans leur quête de justice. Betty Brown, en particulier, ressent une profonde frustration face à ce changement.
Elle souligne l'impact de cette décision sur les efforts pour régler les plaintes en attente. "Chaque fois qu'un nouveau ministre arrive, il faut tout recommencer," dit-elle, exprimant son désespoir.
Les victimes du scandale Horizon demandent une action rapide et efficace. Elles souhaitent que le gouvernement prenne des mesures concrètes pour résoudre leurs problèmes. Betty Brown et d'autres victimes espèrent que la pression publique incitera les autorités à agir.
Il est crucial que les responsables politiques comprennent l'urgence de la situation. Les histoires de victimes comme Betty doivent être entendues et prises en compte dans le processus décisionnel.
Le scandale de l'Ancien Bureau de Poste reste un sujet de préoccupation majeur. Les victimes, dont Betty Brown, continuent de lutter pour obtenir justice et indemnisation. Le licenciement de Gareth Thomas soulève des questions importantes sur l'engagement du gouvernement envers ces personnes.
Il est essentiel que les autorités agissent rapidement pour réparer les injustices subies. La voix des victimes doit être entendue afin de garantir que de telles erreurs ne se reproduisent plus à l'avenir.