La nomination des ministres, une mobilisation syndicale imminente et des négociations cruciales marquent les jours à venir pour le Premier ministre. Ce dernier se prépare à une semaine qui s'annonce aussi périlleuse que décisive. Les enjeux sont élevés et les tensions palpables.
Lors de l'université de rentrée du MoDem, au bord de la Sorgue, dans le Vaucluse, un cadre centriste exprime déjà des signes de fatigue. Ce dimanche 28 septembre, il se projette dans la semaine qui débute en déclarant : « Ça va être un enfer. Si on survit à l’issue, ce sera miraculeux. »
Le programme de la semaine est chargé. Une réunion des patrons de l’alliance gouvernementale aura lieu lundi, ressemblant à une véritable thérapie de groupe. Ensuite, l’élection des postes clés de l’Assemblée se déroulera mercredi et jeudi, suivie d'une nouvelle mobilisation syndicale.
Les négociations politiques sont prévues pour vendredi, avec une nomination du gouvernement et un Conseil des ministres probablement ce week-end. Un conseiller ministériel commente : « Ça va être du patinage artistique. Gare à la chute ! »
Les jours à venir s'annoncent déterminants pour le gouvernement. Avec des défis de taille et des attentes élevées, la capacité à naviguer à travers cette tempête politique sera cruciale. La survie de l'équipe gouvernementale dépendra des décisions prises dans les jours à venir.