Depuis le 26 avril, date de l’attaque, cette femme de 64 ans se dit traumatisée. En plus d’avoir perdu son yorkshire, elle a eu le doigt sectionné. Elle a porté plainte et souhaite prévenir un autre drame.
« Insomnie, rumination, cauchemar, perte d’appétit, tristesse, anxiété. » Trois mois après la mort de son chien Napoléon, Marie ne va pas bien. Cette habitante de Gentilly (Val-de-Marne), âgée de 64 ans, ne pourra plus travailler.
Cheffe de service au sein d’une association caritative, elle est en arrêt maladie. « Il me restait deux ans à effectuer mais je passe en préretraite », explique-t-elle. La faute à un événement traumatisant dont elle peine à se remettre.
Marie se retrouve confrontée à un avenir incertain. La douleur de la perte de son chien et les séquelles de l’attaque l’affectent profondément. Elle espère retrouver un semblant de normalité dans sa vie quotidienne.
Malgré le soutien de son entourage, elle lutte contre des émotions dévastatrices. La transition vers la préretraite est un moment difficile qu'elle n'avait pas anticipé.
Marie souhaite sensibiliser les autres propriétaires de chiens. Elle veut éviter que d'autres personnes ne vivent un tel drame. Son expérience met en lumière la nécessité de prévenir les incidents liés aux animaux.
Elle encourage les gens à être vigilants et à prendre des mesures pour garantir la sécurité de leurs animaux et des autres. Son témoignage est un appel à la responsabilité.
Le parcours de Marie illustre les conséquences d’un événement tragique. Son histoire est un rappel poignant de l'impact que peut avoir une attaque sur la vie d'une personne. Elle espère que son témoignage aidera à prévenir de futurs incidents.